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Les méfaits des benzodiazépines et des somnifères, dépendance et sevrage
13 novembre 2012

Vidéos de Carole de Suisse : tous les conseils pour le sevrage des psychotropes et le post-sevrage


Bonsoir,

Bientôt 4 mois que je suis en post sevrage, après des années de prise de psychotropes, je peux dire maintenant que j'ai tiré un trait sur ma dépendance aux somnifères.

Il aura fallu un déclic suite à tous les symptômes horribles que j'ai connu l'année dernière à la même époque. L'énorme prise de conscience a été de tomber sur le site internet de Carole de Suisse, qui s'en est sortie après 13 ans de prise de psychotropes, puis du forum d'entraide au sevrage des benzodiazépines et des somnifères, pour me rendre compte de la dangerosité de ces poisons.

Aujourd'hui, je suis dans un stade où je me reconstruis tout doucement. J'ai encore quelques symptômes, mais qui ont tendance à diminuer depuis la fin du sevrage. On peut parler de rééducation mentale et même physique. Et je mets toutes mes chances de mon côté pour arriver à vivre sereinement : relaxation, hygiène de vie (no café, no thé, no glutamate, no aspartame, no alcool, no chocolat), sport régulier, et programme de Geert (www.sansangoisse.com), afin de changer mon comportement et mes pensées face aux angoisses.

Voici les vidéos de Carole de Suisse qui permettront, je l'espère, à plus d'un de se sortir de l'enfer des psychotropes. Carole m'a beaucoup apporté, et je suis ses conseils à la lettre, car tout ce qu'elle a entrepris depuis l'arrêt de sa médication a marché. C'est un exemple pour tous ceux qui veulent se sevrer.

http://www.youtube.com/watch?v=_3dBBPv7zB0&feature=plcp

J'en suis sortie, pourquoi pas vous ? :D

Bon film :)

PS : Témoignage de Carole de Suisse => http://www.psychotropes.info/furax/partie-1.html

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Commentaires
E
Merci pour votre réponse bbhepar ! Oui ! J'en avais gros sur le cœur d'où mon mess. si long. J'ai déjà une maladie intestinale et j'ai eu du tranxène alors qu'il n'aurait pas du être prescrit mais le dr en 2006 trouvait mes symptômes exagérés. La maladie a évolué depuis et est à vie. J'essaie au moins de redescendre à 5 mg par jour. Mais là... dois-je continuer à 25 mg tant que j'ai ces angoisses matinales ? Dois-je revenir à 30 mg où au bout de 2 mois je n'ai plus rien eu ? Dois-je descendre à 20 mg mais j'ai peur d'aller droit dans le mur puisque je ne suis tjrs pas <br /> <br /> au top ? Je pensais que vous pouviez me donner une solution. Je vais m'inscrire donc. Merci encore de m'avoir lu et répondu !!!! Bonne soirée.
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B
Bonjour Espoir, quel long message !! Difficile de le lire car très long, mais je tiens à vous féliciter pour votre courage. J'ai vécu à peu de choses près dans une clinique où j'avais demandé au psychiatre de m'aider à me sevrer. Au final, il m'a diagnostiqué en 30 mn sans même me connaître et voulait m'administrer 2 AD. J'ai fais la même chose que vous, j'ai pris mes jambes à mon cou. Les psychiatres peuvent être très dangereux pour certains patients. Nous en sommes la preuve. Après mon sevrage, je lui écris une lettre bien salée pour lui dire mes 4 vérités tout en restant courtoise. Mon trouble dépressif majeur qu'il m'avait diagnostiqué s'est envolé quelques temps après mon sevrage, c'est bien la preuve que ces médocs sont des poisons. Comment explique-t-il cela ? Bref, pour revenir à votre sevrage, merci de vous inscrire sur le forum benzo.forumactif.org. Il faut savoir que les benzos dérèglent le système intestinal. Beaucoup développent des colopathies. La mienne s'est arrêté après mon sevrage, alors que j'en ai souffert pendant des années. Donc, il y a de fortes chances que vos douleurs s'aggravent avec le tranxène. Voilà, vous savez ce qu'ils vous restent à faire. Courage
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E
Bonjour<br /> <br /> Je sais que les douleurs horribles dans mon corps proviennent du tranxene malgre que mon medecin me dise que c est l angoisse et meme de la spasmophilie. Qui n aurait pas d angoisses avec des douleurs telles que je n ose a peine bouger pour qu elles n empirent pas ? Comme si j avais la grippe. Seulement voila.... je n ai pas d angoisses puisque je suis sous 10 mg la nuit et 15 mg le jour.<br /> <br /> Ces douleurs sont apparues depuis l augmentation du tranxene. 2 mois a 10 mg sur 24 h... tout allait bien : une grande fatigue certes due a une maladie intestinale, a des medicaments pour les lumbagos non supportes, a 3 chocs emotionnels qui ont ete regles et dont si a l epoque j avais su qu on pouvait les minimiser par des techniques de relaxation ne m auraient pas fragilisee encore plus et des angoisses matinales de + en + courtes dues a ces chocs passes mais dont l esprit met plus de temps a s en remettre. En septembre 2015, je lis le rapport d un psychiatre d hopital dans lequel je suis restee 2 jours (il voulait me prescrire anxio., AD et neuro.) Et dire que c est moi qui ait demande a y aller pour demander a ce qu on m aide a ne plus avoir ces angoisses matinales minimes mais usantes, decourageantes avec le temps passant. Je ne voulais pas risquer de m enfoncer dans la deprime ou plus encore. Je me suis dit qu on augmenterait un peu la dose de tranxene, qu on ferait attention a mes intestins qui font que je ne supporte que tres peu de medicaments avec un regime drastique obligatoire a vie d ou des carences (une forme de crohn rare en France) et surtout que je pourrais beneficier des services que cet hopital proposait et dont le cout dans le prive n est pas dans mes moyens : relaxation, sophrologie, ecriture, expression artistique... Mais quelle idee stupide j ai eu ! En voyant des les premieres heures des jeunes femmes pleurer dans la cour, une dame agee venant me raconter ses soucis en pleurant et en rajoutant qu elle n arrivait pas a ouvrir la bouche devant le psy ce a quoi je lui ai dit qu elle devait lui parler comme elle le faisait avec moi mais elle n y arrivait pas ajoutant que ce dernier lui avait dit qu il avait tout tente avec elle et qu il ne pouvait rien faire de plus, un homme venant me parler puis soudain voir ses yeux aller dans le vide ne m entendant plus... je me suis demandee si j avais eu une bonne idee de demander mon admission. J ai eu un entretien avec ce psy une heure apres. Je n avais aucun prejuges sur lui car pour moi, chaque cas est different et me sachant bavarde, souriante malgre les difficultes, je me sentais prete a lui faire confiance. J entre. Je lui souris. Rien de son cote. Il est froid, me regarde a peine. Me dis de m asseoir. L entretien se passe mais il ne ressemble pas a ce que je pensais. Il est legerement narquois a mes propos allant jusqu a me dire quand il me demande si je m entends bien avec mes soeurs que nous vivons "dans la petite maison dans la prairie" tout en regardant son infirmiere qui est assise en face de moi. Et pourtant c est vrai. Nous sommes quatre soeurs qui nous entendons et nous epaulons quand quelque chose ne va pas. Est ce si rare ? Il me pose des questions sur ma maladie que j ai depuis 10 ans. Je lui raconte mon parcours medical en evitant tout de meme de donner les details des paroles des drs qui a l epoque me disaient que mes symptomes etaient psychologiques, relevaient de l hypocondrie, etc.... J ai tout entendu a cette epoque. J ai frappe a bcp de portes de cabinets pour qu on m aide. La maladie en a profite pour prendre du terrain et enfin 1 an et demi apres la perte de 23 kg on a decouvert une bacterie intestinale avec toxine (a qques jours pres j aurais eu une septicemie d apres le gastro-enterologue). Helas cette bacterie a recidive et a fini par toucher les intestins et donner une maladie incurable. Que de douleurs physiques... Donc ce psy regarde le vidal, va sur son ordi. pour me dire que cette maladie n est rien "juste la fuite des proteines dans le sang". Il ne sait pas ce que des carences alimentaires sur 10 ans peuvent avoir comme repercussions dans le corps et aussi psychologiquement mais de ce cote la grace a mes enfants, mon mari, ma famille, mon medecin je ne cede pas, je me bats pour faire avec car j aime la vie. Cela a ete un apprentissage sur moi-meme pendant 3 ans et j ai trouve d autres satisfactions rien que par respect aussi pour ceux qui etaient encore plus malades que moi. Pour eux, je n avais pas le droit de me plaindre. J avais mal ? Je marchais encore et encore mesurant la chance de pouvoir le faire ! A chaque douleur, je pensais a eux et cela m a permis de vivre 10 ans en acceptant ma situation. Je sais donc a ce moment que je ne resterai pas dans cet hopital. Seulement voila, fin aout mon medecin revient de vacances. Me donne le rapport de ce psy vu 1 h 30 debut juillet 2015. Je le lis tranquillement chez moi. Et la je craque. Comment peut-on juger quelqu un en si peu de temps alors que dans cet hopital les sejours sont de 6 semaines ! Qu on ne me parle pas de professionnalisme ! Naive, j ai tjrs pense qu un bon psy prenait le temps d apprendre a ecouter la personne avant d emettre une opinion a son sujet. Oui j ai craque et je le revendique malgre que mon medecin m ait dit de ne pas y preter attention car pour lui ce psy ne connait pas cette <br /> <br /> maladie. Dans ce rapport :<br /> <br /> - discours hypocondriaque sur la maladie (c est suite a ces mots que j ai craque. Tant de lutte pour vivre comme tout le monde en gardant coute que coute le moral car manger chaque jour les memes repas n est pas evident meme socialement parlant, m etre battue pour prouver que ce que je ressentais etait physique... les examens l ont prouve mais trop tard helas... aller au dela des douleurs pour profiter des bons moments de la vie, etc... Je revenais au point de depart ou tant de drs m avaient mis une etiquette. J avais pourtant failli mourir bon sang ! et cette maladie est a vie car decouverte sur le tard. J ai prouve qu elle est liee directement a cette bacterie)<br /> <br /> - victimiste<br /> <br /> - un discours ennuyeux<br /> <br /> - infantile (alors que je suis restee maitre de moi)<br /> <br /> - mal etre profond (oui c est vrai.... a faire des angoisses matinales chaque jour suite a des chocs emotionnels pourtant resolus et acceptes est eprouvant, occasionne de la fatigue qui s ajoute a celle de ma MICI qui s ajoute a celle que le tranxene donne et voir que cela perdure alors que vous voulez par dessus tout reprendre votre vie ! ... et bien oui... mal etre il y a).<br /> <br /> Donc suite a cette lecture, de jour en jour, j avais de plus en plus mal a l estomac, la bile attaquait les muqueuses. Je ne digerais pas ce rapport qui ne me refletait pas. J aurais pu relativiser, prendre du recul mais pas moyen. Encore trop fragile emotionnellement. Le plus beau c est que j en avais avertie mon medecin qui me voyant fin aout 2015 me trouvait resplendissante. Je lui ai dit par la suite que sachant cela il n aurait pas du me donner ce rapport, ca n etait pas le bon moment. Plus tard ... oui.<br /> <br /> A la fin de la semaine, j etais dans un sale etat. Je sais que je me suis rendue malade par moi-meme en cogitant trop, en ressassant trop mais je n arrivais pas a oublier ce rapport. Je me disais "mais qui me croira le jour ou ma maladie evoluera et que je doive aller a l hopital et que les drs liront ce rapport" ? On me donnera des psychotropes, je deviendrai un legume alors que je suis deja si receptive aux moindres medicaments (je prenais 2,5 mg de tranxene matin et soir en preparation magistrale et cela faisait effet et en juin 2015 me renseignant sur ce qu etait le tranxene - me concentrant sur ma maladie - , j ai fait une crise d angoisse enorme qui m a conduite aux urgences. C est la que j ai demande a voir un psy. Pas une fois je n ai pense que ce medicament pris depuis si longtemps pourtant a faible dose pouvait aboutir a la dependance. On me l avait donne , comme je l ai dit plus haut, le medecin en 2006 ne croyant pas a mes symptomes. Moi je n ai eu de cesse de prouver que c etait physique et je ne nie pas qu a ce moment le tranxene a contribue aussi a me battre pour prouver mes dires. Mais de la a lire tous les effets secondaires qu il donnait a long terme, j en suis restee abasourdie.) Qu est ce que je mangerai ? car deja pendant ces 2 jours a l hopital c est mon mari qui preparait mes repas et me les apportait car sur place on me proposait a midi une viande avec courgettes et le soir du riz avec carottes et encore pas sur m a dit la dieteticienne alors que chez moi je prends double proportions afin d avoir plus de vitamines meme si ce sont tjrs les memes et avoir plus de poids. Ces questions ont fait s aggraver les angoisses bien sur et 1 semaine apres j ai fait de la tetanie aux jambes. Le dr me voyant dans cet etat a decide d augmenter la dose de tranxene pdt 1 mois. De 10 mg par jour, je suis passee a 40 mg (20 mg le jour et 20 mg le soir). Le soir j ai hesite surtout que cette tetanie est passee 2 h apres dans l apm mais j ai fait confiance. Dans la nuit ... des douleurs epouvantables aux jambes, aux hanches. Comme si on me les arrachait. J etais en nage et SANS angoisses. Ecoutant mon dr j ai continue le mois. Les douleurs surtout au reveil ont continue non stop. J etais shootee mais je voulais marcher et mon mari me soutenait dans la rue car je titubais, voyais trouble. Mais.... pas d angoisse. Trois jours avant mon rdv chez le dr... plus rien. Plus de douleurs. Au rdv, il me dit que c est l angoisse de prendre le tranxene a cette dose qui a provoque ces symptomes. Non ! J avais une crainte mais sans plus d autant que dans la journee jusqu au soir, j ai tjrs ete bien. Je lui dis alors "et pour les autres jours du mois ? Pourquoi ces douleurs sans angoisse ?" . Il me repond que la c est ma maladie qui fait que... et que j ai fait les effets contraires du medicament. Je pensais que puisqu'enfin je n avais plus de douleurs, il me laisserait 15 jours - 3 semaines a cette dose pour donner le temps au systeme nerveux central de se stabiliser. Il decide de descendre de 10 mg soit 15 mg le jour et 15 mg le soir. Mon mari lui dit que cela lui semble rapide et forte comme descente. 5 mg ne serait-il pas preferable ! Le dr ne veut pas. Ce mois a 30 mg a ete pire que celui a 40 mg. Des douleurs de type grippal sont apparues, des acouphenes, des nausees, la vue trouble... non stop. Tjrs shootee et SANS ANGOISSES. Au bout d un mois, le dr decide de continuer un second mois a cette dose. Pas d angoisses mais rien n y fait, les douleurs sont tres fortes et les nausees augmentent. Et... 3 jours avant mon rdv a nouveau je n eprouve plus aucune douleurs. Le dr decide de suite de descendre a 25 mg (15 mg le jour et 10 mg la nuit). Je suis encore bien 2 -3 jours. Puis a nouveau des douleurs partout mais moins fortes mais des troubles du sommeil arrivent. Je suis honnete et franche : je ne ressens plus de rancune envers ce psy qui m a jugee si vite. J ai pris la decision de voir une psychologue a qui j ai de suite raconte ce qui m arrivait. Je lui ai ecrit ma vie pour qu elle me connaisse et ainsi m aider au mieux. Elle ne pratique pas sur le passe mais sur le present mais je trouvais utile qu elle me connaisse au mieux. Je suis allee la voir apres la tetanie aux jambes en septembre. Si j avais ete la voir plus tot, je sais que j aurais reussi a relativiser et eviter ainsi les 40 mg.<br /> <br /> Quand elle a lu le rapport du psy, cela l a surprise. Elle avait les memes opinions que moi a ce sujet. Meme mon allergologue qui le connait m a dit que c etait un c.. et que j avais bien fait de prendre mes jambes a mon cou et de partir si vite. A ce jour, la psychologue est convaincue que les carences alimentaires sur de nombreuses annees ont exacerbe mon corps et donc mon etat psychologique. Pour elle meme sans ces chocs emotionnels... j aurais fini par craquer. Elle me l a ecrit par mail que j ai montre a mon dr.<br /> <br /> Puis les cauchemards sont arrives. Jamais eu auparavant. Puis des reves qui reveillent tot et perdurent. On est dans un demi sommeil. Puis les angoisses maitrisees rapidement mais cela devient pesant. Maitrisees par ce que m a appris la psychologue. Et cette fatigue et ces douleurs qui viennent et qui partent. Cela dure depuis novembre 2015 et mon dr me dit qu il ne peut rabaisser la dose tant que j ai ces symptomes le matin tot. Oui ! Mais je suis accro maintenant. Je le sens bien. J ai l impression de faire un syndrome de sevrage prolonge alors que je suis sous traitement comme l explique Carole de Suisse ? Je ne sais pas quoi faire. Mon dr doute de ces propos de Carole. Je cherche partout un medecin qui au moins accrediterait cela. Moralement cela me ferait du bien d etre crue. J ai meme passee une annonce vue plus de 1900 fois mais rien... meme pas quand je dis que j aimerais que l on me contacte si des particuliers connaissent le tranxene qui est une gelule donc contenant de la poudre ou qui ont connu ma situation. A croire que le sujet est tabou. Pourtant quand je vais au qi gong, j en parle ouvertement de mon probleme. Il est vrai que je suis dans une association ou la plupart des personnes ont subit des traumatismes divers. Jamais il n y a de jugement. On pratique le qi gong et a la pose on rit et parfois on parle de notre vecu brievement. On se comprend tout simplement.<br /> <br /> Alors... que faire ?<br /> <br /> Mon dr ne veut pas que je remonte a ma derniere dose de confort ou je ne sentais plus de douleurs soit 30 mg. Il prefere attendre qu une zone de confort arrive avec le 25 mg mais j entame le 7 eme mois. Il est vrai que les douleurs sont plus supportables, que je suis plus resistante mais ces douleurs tot le matin ne sont pas normales. Je sais qu il n y a pas resurgence des emotions negatives qui m avaient fait sombrer dans les angoisses. Tout est fait pour que je mene une vie calme et comme je la souhaite. Et en faisant ce bilan aujourd hui, je remarque bien que plus on a augmente le tranxene plus j ai mal reagi.<br /> <br /> Je sais aussi que si je n avais pas cette maladie intestinale, je serais bcp plus forte pour me battre contre les effets secondaires du tranxene. C est une addictologue qui me l a dit. Helas, elle n aime pas du tout le tranxene et travaille avec un autre medicament qui ne donne pas de dependance et qui est a l etude car il pourrait aider a lutter contre l anxiete mais dans mon cas... pas sur que je le supporterais et pour le moment ca n est qu au stade d une etude ! J ai besoin d aide s il vous plait !!!! J ai vu ce qu etait la tritation mais ne prenant aucun autre medicament depuis 10 ans et etant sensible a tout je crains de ne pas reussir et surtout les consequences dans mon corps. J ai besoin d etre encadre. Ah ! Depuis le 40 mg en septembre 2015, je suis devenue hyper sensible, la bile a l estomac a la moindre contrariete, encore plus fatiguee, pleurant si on me parle durement, nerveuse.. Heureusement que ma famille a compris mes explications. Pour moi, pour eux il fallait qu elle sache ! Encre merci si vous m avez lue jusqu au bout et si vous pouvez m aider !
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